Quel sera l’avenir de l’éducation dans certains établissements publics à Tahoua ?

21 octobre 2010

Quel sera l’avenir de l’éducation dans certains établissements publics à Tahoua ?

Ce qui se passe cette rentrée au CEG2 de Tahoua est inhabituel dans les établissements dits à caractère public. Même si cela est une reforme, elle est tombée à un mauvais moment. Certains actes n’encouragent guerre les parents d’élèves dans un une ville comme Tahoua où plus de la majorité de ses résidents sont analphabètes. Les élèves qui sont transférés d’autres établissements au CEG2 sont exposés à deux surprises. Pour être accepté au sein de l’établissement il faut d’abord pour l’élève de 6e (transféré) payé 2 000 f C FA d’inscription. On n’est pas dans un établissement privée qu’à même ! Il faut payer encore au minimum 8 000 F C FA à un menuisier pour la réparation de la table du transféré. Mais, qu’est ce qui pousse l’administration du CEGII à agir ainsi ? N’ont-ils pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tous les élèves désirant s’inscrire dans cet établissement ? Sans chercher à savoir les vrais raisons des ces changement il faut noter que cela prouve le désengagement de la municipalité et de l’état sur la question éducative.

L’école nigérienne est souffrante.  Dans un pays où la grande masse d’enseignants n’a pas une vocation et surtout le niveau, Il faut savoir choisir les réformes. A Tahoua  le  taux de scolarisés est le plus faible de tous les 8 régions que comptent le Niger. les problèmes de l’éducation sont nombreux dans cette ville.

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